Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

VIP-Blog de dlr14eme_62

Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont -  Carvin
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

2524 articles publiés
858 commentaires postés
1 visiteur aujourd'hui
Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

Garçon (71 ans)
Origine : Carvin
Contact
Favori
Faire connaître ce blog
Newsletter de ce blog

 Décembre  2025 
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
01020304050607
08091011121314
15161718192021
22232425262728
293001020304


| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |

[ Contacts/Adhésions/ Vie du mouvement ] [ Canton de Rouvroy - Méricourt - Drocourt + Bois Bernard (CACH) ] [ Canton d'Hénin Beaumont - Noyelles Godault ] [ Canton de Leforest - Evin Malmaison - Dourges - Courcelles lès Lens ] [ Canton de Montigny en Gohelle - Hénin Beaumont ouest ] [ Canton de Carvin Libercourt ] [ Canton de Courrières - Oignies ] [ Généralité ] [ TV/Radio/Vidéo/Net et autres médias ] [ TRIBUNE LIBRE ]

Europe : des solutions pour éviter la dépression

20/04/2010 17:14

Europe : des solutions pour éviter la dépression


Lentement mais sûrement, le piège se met en place. Après déjà une décennie économiquement piteuse, l’Europe s’apprête à s’enfoncer volontairement dans la dépression en choisissant des politiques économiques déflationnistes. Il existe pourtant des solutions.
Première solution : la fin de la monnaie unique
La gravité de la crise est la conséquence directe de la mise en place de l’euro. A ce titre, l’exemple de l’Espagne est extrêmement parlant. Voilà un pays qui affichait la dette publique la plus faible de la zone euro (à peine 40%), un excédent budgétaire depuis des années et un dynamisme économique exemplaire. Malheureusement, cette belle histoire était un malentendu dont la cause unique était l’euro, pour une simple raison : des taux d’intérêts trop faibles.
A 4% au milieu des années 2000, les taux de la BCE étaient totalement inadaptés à un pays où la croissance économique approchait les 4% et l’inflation les 3%. La croissance nominale du PIB, proche de 7%, excédait largement le coût de l’argent. Du coup, une immense bulle s’est créée, principalement dans l’immobilier. Son explosion a provoqué une récession dont l’Espagne  ne sort pas alors qu’une politique monétaire nationale aurait permis d’éviter cette bulle (par une hausse des taux).
La première solution est une transformation de l’euro en une monnaie commune, avec un retour aux monnaies nationales, ce qui permettra à chaque pays de mener une politique économique adaptée à sa réalité et non de subir une politique unique, soit trop restrictive (et facteur de dépression), soit trop laxiste (et donc facteur de bulle). L’euro, à travers sa surévaluation et la rigidité de sa politique unique est bien un des principaux responsables de la faiblesse économique de l’Europe.
Deuxième solution : la monétisation de la dette
Mais, si une sortie de l’euro est une solution essentielle pour retrouver le chemin de la croissance à moyen terme, les pays européens se trouvent confrontés à un amoncellement de dettes inquiétant pour l’avenir car toute politique de réduction des déficits risque de freiner une croissance pourtant essentielle pour permettre aux Etats de payer cette montagne d’engagements. Et là, pour éviter une forte hausse des impôts ou une forte baisse des dépenses publiques qui auraient toutes les deux des effets récessifs et pour éviter une déflation à la japonaise, il faut envisager des solutions non conventionnelle.
La première solution est une monétisation de la dette. En 1973, la France a renoncé à cette possibilité et la planche à billet est encore vue aujourd’hui comme une pratique dangereuse, qui peut mener à l’hyperinflation, comme cela a été le cas dans certains pays d’Amérique Latine. Cependant, la crise devrait casser ce tabou puisque les Etats-Unis comme la Grande-Bretagne y ont eu recours. Mieux, pour la première fois depuis des décennies, la base monétaire est en baisse en Europe. Une monétisation de la dette ne présenterait donc aucun risque inflationniste aujourd’hui.
Troisième solution : la Zone Européenne Financière couplée à une taxe Tobin
Mais surtout, cette monétisation aiderait les Etats à refinancer leur dette sans instaurer une rigueur trop violente qui risque de tuer toute reprise dans l’œuf et faire entrer notre continent dans une dépression à la japonaise. Mieux, on pourrait imaginer mettre en place une Zone Européenne Financière autonome au sein de laquelle toutes les transactions financières seraient taxées (entre 0.1 et 1%), alimentant un fond commun de la Zone qui pourrait alors reprendre (cas d’école) la moitié de la dette publique des Etats participants, pour les motiver à rejoindre cette zone.
Les Etats-membres de la ZEF s’engageraient en échange à ne pas mener de politiques économiques non coopératives. On pourrait imaginer qu’un taux minimum d’impôt sur les sociétés (égal, par exemple, à 80 ou 90% de la moyenne des pays membres) pourrait être mis en place, ainsi que d’autres réglementations à minima (contrôle des mouvements de capitaux, boycott des paradis fiscaux). De la sorte, l’ensemble des Etats de l’Union Européenne aurait une forte incitation à rejoindre cet ensemble dont la France pourrait être le pionnier, idéalement avec l’Allemagne, sinon avec l’Europe Latine.
L’immense endettement hérité de la crise pose un problème dans le cadre de l’euro car les Etats européens risquent de s’auto-entraîner dans la dépression par des politiques de rigueur. Seules des solutions radicales nous permettront d’éviter une nouvelle décennie de croissance molle.
Laurent Pinsolle
NB : l’idée de ZEF n’est pas une invention de ma part, mais la reprise d’une proposition d’un intellectuel alternatif (Sapir il me semble). Je n’ai pas réussi à retrouver ma source dans mes notes.





Marine Le Pen : sous le vernis, le brun

18/04/2010 20:30

Marine Le Pen : sous le vernis, le brun


Hier matin, je suis tombé par hasard sur Marine Le Pen qui était interviewée sur Europe 1 par Olivier Duhamel et Michel Field. L’occasion de mieux comprendre la nouvelle stratégie du Front National mais aussi d’observer une certaine continuité dans le nauséabond.
Une grande habileté
Marine Le Pen est intelligente. Elle a compris que si elle devait rester radicale sur la dénonciation des dérives de notre société, il est important de mettre fin à certaines « saillies » qui ont enfermé son père dans un réduit extrémiste à partir duquel il était impossible d’arriver au pouvoir. Comme elle l’a dit hier, son objectif est d’atteindre une majorité des votants et de prendre le pouvoir. Elle a donc adopté depuis plusieurs années un discours un peu plus policé visant à attirer des électeurs pour lesquels voter Front National était totalement impossible auparavant.
Ce discours débarrassé de certains excès vaut également pour la campagne qu’elle mène pour la présidence du FN. A mille lieues des piques que s’envoient à longueur de temps les leaders du PS ou de l’UMP, Marine Le Pen n’a pas critiqué une seule fois son rival, Bruno Gollnisch. Elle s’est même refusée à se définir par rapport à lui. Pas une seule polémique entre frontistes. Elle a même regretté que les médias ne lui accordent pas autant de temps de parole qu’à elle. Pour le coup, les grands partis qui étalent sans cesse leurs divisions dans les médias pourraient en prendre de la graine.
La forme change, et le fond ?
Mais une réaction à une question sur les dérapages de son père révèle un autre aspect de sa personnalité. Entre la 31ème et la 33ème minute, vous pourrez entendre les journalistes, qui ont mis bout à bout trois des déclarations les plus sulfureuses de Jean-Marie Le Pen, « Durafour-crématoire », « les chambres à gaz sont un point de détail de l’histoire de la seconde guerre mondiale » et « je crois à l’inégalité des races », lui demander si cette époque est terminée. Elle a répondu par la positive mais en affirmant également que « ces saillies font le charme » de son père.
Bien sûr, il ne fallait sans doute pas attendre de critique de ces déclarations mais entre la critique et le fait de dire qu’elles ont du charme, il y avait mille nuances qui pouvaient exprimer une plus grande distance sans froisser le président actuel du Front National. Elle aurait tout simplement pu éviter de dire que ces saillies faisaient le charme de son père par exemple. Mais non, Marine Le Pen trouve que parler de « Durafour-crématoire » ou de « l’inégalité des races » a du charme, ainsi que de dire que « les chambres à gaz sont un point de détail de l’histoire de la seconde guerre mondiale »…
Cette interview a un immense mérite et il faudra s’en souvenir. Elle montre que si Marine Le Pen se distingue de son père sur la forme, ce n’est pas vrai sur le fond. Le FN est et restera un parti infréquentable dont les relents les plus nauséabonds seront seulement camouflés.
Laurent Pinsolle





Week - end actif dans la 14ème circonscription 7

18/04/2010 20:11

Week - end actif dans la 14ème circonscription 7


Autre lieu, toujours présent à la rencontre de nos concitoyens. C'est au Marché aux puces du Boulevard du 19 mars que nous nous sommes cette fois rendus. Des échanges toujours aussi cordiaux et des nouveaux encouragements pour clore ce week end ensoleillé.

Le comité local héninois 



Commentaire de Manéthon (19/04/2010 10:30) :

L'AR nous fait la promotion d'un tract dont on ignore la provenance : qu l'a imprimé ?


Commentaire de Caton l\'ancien (19/04/2010 17:57) :

Mon petit doigt me dit qu'il faudrait voir du côté de la rue rené cassin !


Commentaire de Je sais rien mais je dirais tout ! (19/04/2010 18:02) :

En tous cas le responsable de la duplication sera muet comme une carpe !


Commentaire de Pour le fun (20/04/2010 17:22) :

ce comentaire entièrement repris à Cimarès sur un autre blog : "Hénin-Beaumont: prime à la dette ! On ne parle habituellement de la petite ville d'Hénin-Beaumont dans le Pas de Calais qu'à l'occasion des élections locales pour s'amuser à nous faire peur: Marine Le Pen va finir par remporter la Mairie. Effectivement, ses opposants font tout ce qu'ils peuvent pour y parvenir ! Ainsi, le nouveau Maire, Daniel Duquenne, ne peut, et ce n'est pas de sa faute, exercer ses fonctions majorales depuis son élection pour des raisons de santé. En attendant son rétablissement, le conseil municipal gère tant bien que mal (plutôt mal !) les affaires courantes d'une commune aux finances asséchées par la gestion du socialiste Gérard Dallongeville. Et les élus de la majorité viennent de décider de s'octroyer (avec effet rétroactif !) une petite augmentation de leurs indemnités permettant, notamment, au Maire absent de recevoir chaque mois un petit pécule de 2299 €. Quand il y a de la gêne, il n'y a pas de plaisir ! " Bravo cimarès


Commentaire de cimares (20/04/2010 17:40) :

à pour le fun. Ce qui est écrit sous mon pseudo n'est pas de moi ! j'ai pris soin de citer mes sources à savoir, un bloggueur lillois répondant au nom de Cobert.





Week - end actif dans la 14ème circonscription 6

18/04/2010 20:06

Week - end actif dans la 14ème circonscription 6







Week - end actif dans la 14ème circonscription 5

18/04/2010 20:02

Week - end actif dans la 14ème circonscription 5


Nos représentants se sont rendus ce dimanche 18 avril 2010 au marché aux puces du clos du lac, à la rencontre des citoyens avec qui nous avons longuement échangé. Beaucoup nous ont d'ailleurs chaleureusement encouragé à poursuivre notre combat pour "une certaine idée de la France" dans notre circonscription. Qu'ils en soit remerciés.

Le comité de circonscription et le comité local Héninois






Début | Page précédente | 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 | Page suivante | Fin
[ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact dlr14eme_62 ]

© VIP Blog - Signaler un abus